Quand tu poses sur moi le plus doux des regards,
Je ne peux résister à cette invitation,
Emporté par tes mots, dans tes yeux, je m’égare,
Je m’y laisse glisser avec délectation.
Tu pénètres ma peau, sans même la toucher,
Un délicieux frisson me prend du cœur au corps,
Sur le lit de ta voix, je voudrais me coucher,
Me perdre tout entier au creux de tes « encore »…
Ivre de tes baisers, de tes frémissements,
Je m’abandonne à toi, ma tendre tentation,
Ta bouche me répond d’un léger bruissement,
Avant de me croquer, d’éveiller ma passion.
Je nous aime enlacés, les amants que nous sommes,
Je nous aime éperdus au sommet de nos sens,
Pour toucher de nos cœurs ce que n’osent les hommes,
Pour toucher de nos corps le sublime et l’essence.
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