Mais vous allez me dire : « quoi
donc ? »
Ce dont je veux parler aujourd’hui,
c’est des victimes réelles et collatérales des drames qui se passent tous les
jours. Et surtout des victimes dont on ne parle jamais.
Lors du décès d’une personne, que ce
soit naturel ou accidentel, on souhaite souvent toutes nos condoléances à la
famille. Même si l’on ne les connait pas la plupart du temps. On pense dans ce
cas au décédé et à son entourage.
Lors du décès d’une personne qui a
été tué « accidentellement » par quelqu’un dort. Et lorsque je parle d’accident,
je parle vraiment du non intentionnel. Le vrai accident bête et méchant. Et bien
la encore on est touché et l’on envoi tous nos vœux aux proches du défunt. On
dit que c’est terrible ce qui est arrivé. Mais certains on quand même une petite
pensée pour celui dont c’est la faute. Parfois en bien, en lui souhaitant de se
rétablir de ce choc. D’autres vont enfoncer encore plus cette personne, même si
tout prouve qu’il n’y pouvait rien. Mais on a souvent besoin d’un coupable.
Là où je voudrais m’indigner, c’est
lorsque quelqu’un est assassiné. On continu à pleurer pour la victime et pour
ses proches. On siffle et on insulte le meurtrier. Mais cette fois-ci on oublie
quelqu’un. Les victimes collatérales ! Qui ? Et bien tout simplement la famille
de ce meurtrier ! Car si lui a commit un crime, sa famille n’y est pour rien. La
plupart du temps on les évite. Mais bien souvent l’on n’y pense même pas. Car
eux aussi souffre.
Il ne faut jamais se placer d’un
seul coté. Toujours voir les deux faces d’une et même situation……