Je vous voyais pensive et belle dedans les serres d’hiver
Dans la lumière pâle et sur ce fond de neige
Figée dans la beauté d’un camée centenaire
J’admirais votre taille serrée dans la soie grège
Je me prie à vouloir la tendre porcelaine
Vous tenir près de moi.
Vous garder à dessein
Mes avances cavalières firent rougir vos veines
Les yeux baissés au sol : m’accordiez votre main
Je vous vois nue et belle dans le salon d’hiver
Aux lumières d’un feu en pleine incandescence
La beauté triomphante montée en cavalière
J’admire dessus moi la superbe indécence
Je me prends à vouloir sucer vos jolies lèvres
Tenir tout contre moi vos ronds et nobles seins Alimenter d’exploits nos identiques fièvres
Les caresses des bouches, des sexes et des mains
Vous fûtes et vous serez toujours : femme farouche
L’oiseau à protéger ou l’amante guerrière
Et quand je déposerai baiser sur votre bouche
Le rouge sur vos joues sera : désirs d’aventurière
Ou à fragile fée qui tremble qu’on la touche
Je vous verrai toujours dedans ce contre jour
L’un profil de vierge, de pâle tourterelle
L’autre dans le clair obscur, d’experte en l’amour
Je vous aime frêle et forte, effrontée et pucelle
Qui aimez ma semence, qui aimez mes poèmes et partager autant mes nuits que mes jours
mercredi 25 avril 2007
Autres extrait de Medhi
Découverte
Ta voix est un vent tiède
Qui fleurit aux rives de ta bouche
Ce matin l’écho de ton cœur
Ce soir ma caresse d’ombre
Cette nuit la sève de mes rêves
Les nuits sans ta voixNe sont que des ténèbres.
II
Ma mémoire s’épuise à ta recherche
Et mes mains sont en chômage de ton corps
Le distance tue les mots
Mes lèvres ont besoin de ta peau pour parler
Et tes seins sont la plus belle réponse
Et ton corps qui se fend
Est la plus belle offrande.
III
Tes yeux ont la couleur du sable
Quand la mer se retire
Et ma vie n’a pris corps
Qu’au murmure de ton nom
Des crêtes de tes seins
A la conque de ton ventre
Mes lèvres ont trouvé ton chemin.
IV
Tu t’ouvres comme un coquillage
Qui voudrait avaler un soleil.
V
La pendule se tait
Quand j’ai ta tête dans mes mains.
VI
Je suis habillé de toi
Quand tu es nue.
Ta voix est un vent tiède
Qui fleurit aux rives de ta bouche
Ce matin l’écho de ton cœur
Ce soir ma caresse d’ombre
Cette nuit la sève de mes rêves
Les nuits sans ta voixNe sont que des ténèbres.
II
Ma mémoire s’épuise à ta recherche
Et mes mains sont en chômage de ton corps
Le distance tue les mots
Mes lèvres ont besoin de ta peau pour parler
Et tes seins sont la plus belle réponse
Et ton corps qui se fend
Est la plus belle offrande.
III
Tes yeux ont la couleur du sable
Quand la mer se retire
Et ma vie n’a pris corps
Qu’au murmure de ton nom
Des crêtes de tes seins
A la conque de ton ventre
Mes lèvres ont trouvé ton chemin.
IV
Tu t’ouvres comme un coquillage
Qui voudrait avaler un soleil.
V
La pendule se tait
Quand j’ai ta tête dans mes mains.
VI
Je suis habillé de toi
Quand tu es nue.
Texte de Medhi (internaute)
Quand tu poses sur moi le plus doux des regards,
Je ne peux résister à cette invitation,
Emporté par tes mots, dans tes yeux, je m’égare,
Je m’y laisse glisser avec délectation.
Tu pénètres ma peau, sans même la toucher,
Un délicieux frisson me prend du cœur au corps,
Sur le lit de ta voix, je voudrais me coucher,
Me perdre tout entier au creux de tes « encore »…
Ivre de tes baisers, de tes frémissements,
Je m’abandonne à toi, ma tendre tentation,
Ta bouche me répond d’un léger bruissement,
Avant de me croquer, d’éveiller ma passion.
Je nous aime enlacés, les amants que nous sommes,
Je nous aime éperdus au sommet de nos sens,
Pour toucher de nos cœurs ce que n’osent les hommes,
Pour toucher de nos corps le sublime et l’essence.
Je ne peux résister à cette invitation,
Emporté par tes mots, dans tes yeux, je m’égare,
Je m’y laisse glisser avec délectation.
Tu pénètres ma peau, sans même la toucher,
Un délicieux frisson me prend du cœur au corps,
Sur le lit de ta voix, je voudrais me coucher,
Me perdre tout entier au creux de tes « encore »…
Ivre de tes baisers, de tes frémissements,
Je m’abandonne à toi, ma tendre tentation,
Ta bouche me répond d’un léger bruissement,
Avant de me croquer, d’éveiller ma passion.
Je nous aime enlacés, les amants que nous sommes,
Je nous aime éperdus au sommet de nos sens,
Pour toucher de nos cœurs ce que n’osent les hommes,
Pour toucher de nos corps le sublime et l’essence.
mercredi 11 avril 2007
Claude MONET
Claude MONET nait en 1840 à Paris. IL dessinera ses premières caricatures en 1857 et rencontreara PICASSO en 1859. Il peindra son premier tableau en 1866: "Déjeuner sur l'herbe".
La même année il fera sa première exposition à Paris.
En 1874 il exposera "Impression" et "Soleil levant", peint en 1872. Ce sra la naissance de l'impressionisme. Ses tableaux feront souvent partis de longue série comme: "Les gares SaintLazare", "Les meules", "Les nymphéas"...
Il voyagera en hollande, à Londres, Venise et mourra en 1926 à l'ag ede 86 ans.
Quelques oeuvres:
Pablo PICASSO
Né le 25 Octobre 1881 à Malaga, de son véritable nom Pablo Ruiz BLASCO. Fils de José Ruiz BLASCO et Maria PICASSO Y LOPEZ.
Il peint son premier tableau à l'huile à l'age de 8 ans: le Picador:
Sa première exposition aura lieu en 1900, il y exposera 150 portraits.
Il mourra le 8 Avril 1973 à l'age de 91 ans.
Quelques oeuvres:
mardi 10 avril 2007
CFAI
CFAI 
Juste un petit message pour dire un grand merci au CFAI de Chalon sur Saone (71). C'est le centre de formation où j'ai passé mon BAC Pro. Un grand merci à tous mes formateurs. Ils m'ont bien aidé pour commencer ma vie professionelle. Et aussi un bonjour à tous mes anciens camarades de classes. Tous ces garçons et cette fille (étant que 2 filles) avec qui je me suis bien éclaté. Et merci à mon formateur principal qui a toujours été de bon conseil.
Pour tous ceux qui voudrait des renseignement voici l'adresse:
CFAI de Saone et Loire
75, grande rue st cosme
71100 CHALON SUR SAONE
ou
Tel: 03-85-42-18-21
ou
sur le net: www.cfai-71.com
Voilà!!!
jeudi 5 avril 2007
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